

American Horror Story
À chaque saison, son histoire. American Horror Story nous embarque dans des récits à la fois poignants et cauchemardesques, mêlant la peur, le gore et le politiquement correct. De quoi vous confronter à vos plus grandes frayeurs !
En cours | Américaine, US | Pas de durée |
Drame, Epouvante-Horreur, Drama, Horror, Thriller, Mystere, Science-Fiction & Fantastique | FX, Ciné+ Frisson | 2011 |
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12.08 -
Bonhomme doré
Little Gold Man
Les choses s’accélèrent tous azimuts autour d'Anna : sa carrière continue de monter en flèche, tandis que sa vie personnelle est plus stressante que jamais - juste à temps pour le grand soir d'Hollywood.
Diffusion originale : 17 avril 2024
Diffusion française :
17 avril 2024
Réalisat.eur.rice.s :
Jennifer Lynch
Scénariste.s :
Halley Feiffer
Guest.s :
Taylor Richardson
,
Tavi Gevinson
,
Grace Gummer
,
Reed Birney
,
Gaby Slape
,
Tom O'Keefe
,
Tim Webb
,
Seamus Mulcahy
,
Claire DeJean
,
Ben Beckley
,
Ben Buckley
,
Janell Sexton
,
Mallory Portnoy
,
Lauren Hines
,
Nhumi Threadgill
,
Nick Alexander
On dirait que la saison réalise qu’elle n’a plus que 2 épisodes de 30 minutes et décide de tout balancer en mode speedrun…
L’épisode ne sert donc qu’à montrer deux twists :
Le problème avec ces twists, le deuxième en particulier, c’est qu’ils arrivent comme un cheveu sur la soupe sans vraie autre raison que “il est temps de dévoiler le mystère”, et viennent après une saison qui n’a pas su unifier correctement tout son lore et ses mystères. Le gaslighting d’Anna était hyper répétitif et seulement sur les 4 premiers épisodes, puis c’est son “gaslighting par les sorcières” qui a pris le relais.
La scène d’intro qui cite Rosemarry’s Baby avec des caméos de Polanski, Mia Farrow et Frank Sinatra, s’inscrit bien dans la lignée féministe de la saison et revêt d’une ambiance très “AHS”, en plus de rendre hommage à l’inspiration évidente de l’histoire (Rosemarry’s Baby) en citant cela dit qu’il faut montrer une vision féminine de l’oeuvre. C’est une des rares bonnes scènes disons “old-school AHS” de la saison, même si elle semble là encore un peu insérée de façon peu organique.
Le climax aux Oscars fait aussi son petit effet, tout n’est pas un fiasco mais ça manque clairement de punch. La saison a trop mal géré son rythme, même si elle est courte il y avait moyen de faire bien plus équilibrer.